Sans aller bien loin, depuis ma porte parfois, vivons en live des événements, des découvertes, parfois inattendues que peut nous offrir notre belle nature, la faune, la flore, la météo en mouvement perpétuel.
dimanche 29 mars 2015
jeudi 26 mars 2015
Les chevreuils, derrière le Jardin de la Sauvagine
Mon message précédent a été écouté. Le ciel s'est dégagé dix minutes en cette fin d'après midi. J'ai pris mon reflex pour faire un tour de jardin avec l'espoir d'un beau cliché. Je recherche mes hiboux moyen duc. A défaut, je vois ces chevreuils, près de la nouvelle salle de sports de Vieux Berquin. Ils m'offrent du bleu à profusion, merci, comme quoi, il suffit de demander, c'est cela la prière. Mais le ciel s'est rechargé très vite de noir avec une belle averse.
mercredi 25 mars 2015
vendredi 20 mars 2015
Boules de plumes - la chevêchette - Texte de Daisy Demoor sur des photos de Roland Clerc
Avec une taille qui n’atteint même pas 16 cm, un poids oscillant de 70 à 80 gr et une envergure de 36 cm, la chevêchette est la plus petite des chouettes d’Europe. Minuscule, elle est cependant bien décidée à semer la pagaille dans les populations de mésanges, becs-croisés, pinsons, grimpereaux et passereaux en tous genres.
Mulots, lézards et coléoptères lui permettent de varier ses menus.
Montagnarde de pure souche, elle fréquente de vieilles forêts d’altitude. Observée en Suisse et jusqu’à 2400 mètres dans les Hautes-Alpes françaises, elle se veut discrète, choisissant des endroits isolés, pentus, difficiles d’accès encombrés d’arbres morts ou de vieux troncs truffés de cavités. Elle élève généralement sa nichée dans une ancienne loge de pic épeiche.
Mulots, lézards et coléoptères lui permettent de varier ses menus.
Montagnarde de pure souche, elle fréquente de vieilles forêts d’altitude. Observée en Suisse et jusqu’à 2400 mètres dans les Hautes-Alpes françaises, elle se veut discrète, choisissant des endroits isolés, pentus, difficiles d’accès encombrés d’arbres morts ou de vieux troncs truffés de cavités. Elle élève généralement sa nichée dans une ancienne loge de pic épeiche.
Bien que nocturne, ce rapace d’une rare beauté chasse aussi bien à l’aube qu’au crépuscule. Camouflée dans un conifère aux barbes de lichens, elle peut passer rapidement d’un état de somnolence à une grande agitation. Perchée sur la cime d’un épicéa, elle repère ses proies à vue mais surtout grâce à une ouïe très fine.
Peu farouche, elle ne craint pas l’homme. Il est vrai qu’elle ne rencontre pas souvent ces étranges bipèdes dans ses habitats, là où la nature est encore vierge. On la surprend quelquefois en train de prendre un bain de soleil sur son sapin préféré.
Silencieuse la plupart du temps, elle signale sa présence, à la mi-mars, durant la saison des amours, par des manifestations vocales qui ne durent que quelques minutes. Si, par chance, vous en croisez, vous aurez les plus grandes difficultés pour différencier le mâle de la femelle les deux sexes présentant les mêmes caractéristiques.
Silencieuse la plupart du temps, elle signale sa présence, à la mi-mars, durant la saison des amours, par des manifestations vocales qui ne durent que quelques minutes. Si, par chance, vous en croisez, vous aurez les plus grandes difficultés pour différencier le mâle de la femelle les deux sexes présentant les mêmes caractéristiques.
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