Avec une taille qui n’atteint même pas 16 cm, un poids oscillant de 70 à 80 gr et une envergure de 36 cm, la chevêchette est la plus petite des chouettes d’Europe. Minuscule, elle est cependant bien décidée à semer la pagaille dans les populations de mésanges, becs-croisés, pinsons, grimpereaux et passereaux en tous genres.
Mulots, lézards et coléoptères lui permettent de varier ses menus.
Montagnarde de pure souche, elle fréquente de vieilles forêts d’altitude. Observée en Suisse et jusqu’à 2400 mètres dans les Hautes-Alpes françaises, elle se veut discrète, choisissant des endroits isolés, pentus, difficiles d’accès encombrés d’arbres morts ou de vieux troncs truffés de cavités. Elle élève généralement sa nichée dans une ancienne loge de pic épeiche.
Mulots, lézards et coléoptères lui permettent de varier ses menus.
Montagnarde de pure souche, elle fréquente de vieilles forêts d’altitude. Observée en Suisse et jusqu’à 2400 mètres dans les Hautes-Alpes françaises, elle se veut discrète, choisissant des endroits isolés, pentus, difficiles d’accès encombrés d’arbres morts ou de vieux troncs truffés de cavités. Elle élève généralement sa nichée dans une ancienne loge de pic épeiche.
Bien que nocturne, ce rapace d’une rare beauté chasse aussi bien à l’aube qu’au crépuscule. Camouflée dans un conifère aux barbes de lichens, elle peut passer rapidement d’un état de somnolence à une grande agitation. Perchée sur la cime d’un épicéa, elle repère ses proies à vue mais surtout grâce à une ouïe très fine.
Peu farouche, elle ne craint pas l’homme. Il est vrai qu’elle ne rencontre pas souvent ces étranges bipèdes dans ses habitats, là où la nature est encore vierge. On la surprend quelquefois en train de prendre un bain de soleil sur son sapin préféré.
Silencieuse la plupart du temps, elle signale sa présence, à la mi-mars, durant la saison des amours, par des manifestations vocales qui ne durent que quelques minutes. Si, par chance, vous en croisez, vous aurez les plus grandes difficultés pour différencier le mâle de la femelle les deux sexes présentant les mêmes caractéristiques.
Silencieuse la plupart du temps, elle signale sa présence, à la mi-mars, durant la saison des amours, par des manifestations vocales qui ne durent que quelques minutes. Si, par chance, vous en croisez, vous aurez les plus grandes difficultés pour différencier le mâle de la femelle les deux sexes présentant les mêmes caractéristiques.
Je suis en admiration face aux magnifiques photos de Roland, bravo !
RépondreSupprimerBon dimanche Eric.
Magnifique !!! très belles images et commentaires précieux !! ravie de te lire à nouveau Eric .... bon dimanche ....
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